Des nouveaux pneus pour le Mexique
Des ouvriers reprennent leur usine
A fin 2001, la fabrique de pneus Euzkadi à El Salto, au Mexique, a été fermée. Les ouvriers ont résisté. A l’issue d’un conflit de travail de plus de trois ans, ils ont réussi finalement à obtenir la réouverture de la fabrique et la reprise de la production. Ce film retrace les événements de la fermeture de la fabrique à sa réouverture et documente le développement d’un modèle économique performant fondé sur la coopérative.
On n'a qu'une terre
Le rappeur Stress chante contre la destruction de l’environnement devant les épaves des bateaux échoués issus de la mer d’Aral disparue. Il nous interpelle face à notre responsabilité collective.
Amal
Amal, une fille de douze ans, vit dans la campagne marocaine. Chaque matin, elle quitte la maison à l’aube avec son frère et parcourt plusieurs kilomètres pour se rendre à l’école. Très studieuse, la jeune élève n’a qu’un but : devenir médecin. Mais un jour, sa mère lui apprend qu’elle devra désormais aider à la maison et ne pourra plus aller en classe. Amal accepte tristement son sort. Ce film qui impressionne par la force de ses images traite de l’inégalité des sexes face à l’instruction et des conséquences de la répartition rigide des rôles pour l’avenir des filles.
Chercher refuge – Rachel
Rachel, 17 ans, raconte l’histoire de sa persécution et de sa fuite: de religion chrétienne, Rachel et sa famille subissent des discriminations dans leur pays dont la majorité est musulmane et ils s’enfuient à destination de l’Europe. Ils mènent une vie normale jusqu’au jour où ils se font arrêter et renvoyer chez eux. Comme ils n’ont que des ennuis, ils s’enfuient une nouvelle fois vers l’Europe et obtiennent une autorisation de séjour définitive. Rachel va à l’école et souhaite devenir avocate pour aider les gens qui doivent fuir leur pays.
Les chemins des enfants au Sénégal
Aïcha (12 ans) vit, comme ses amies et amis, dans le petit village de Ndondol, à trois heures de voiture à l’Est de Dakar, la capitale du Sénégal, un pays d’Afrique de l’Ouest. Leur vie est marquée par les longs trajets, qu’ils aillent à l’école ou au marché, qu’ils aillent chercher l’eau ou se rendent à Dakar où vit la mère de l’une des filles. Les enfants vont à l’école mais ils doivent aussi aider aux travaux domestiques. Aller chercher l’eau, faire la cuisine et garder les bêtes font donc partie de leur quotidien comme les devoirs scolaires et l’école.
Une journée avec Moussa
Moussa, 12 ans, vit avec ses trois frères et ses six sœurs dans un village de la savane à l’Est du Niger. Plus tard, il aimerait devenir vétérinaire. Ses parents élèvent des chèvres et des vaches. Son père, le chef de la région, ne sait ni lire ni écrire, comme la plupart des adultes. C’est pourquoi il envoie Moussa à l’école. Quant aux filles, elles doivent rester à la maison et garder les bêtes. En classe, il y a donc beaucoup moins de filles que de garçons.
Une journée avec Ato
Ato, 10 ans, vit avec ses trois frètes et sœurs chez son oncle et sa tante à Ouagadougou. Comme les parents ne pouvaient pas assurer l’entretien de leurs enfants dans leur village, ils les ont confiés à des proches. Ato n’aime pas aller à l’école, arrive souvent en retard et trouve les leçons ennuyeuses. Il préfère le foot et son travail dans un garage. Quand il sera grand, il aimerait avoir son propre garage et former des apprentis.
Une journée avec Aïcha
Aïcha, 9 ans, habite dans un quartier périphérique de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, un pays d’Afrique de l’Ouest. Elle vit avec son père, informaticien, sa mère, secrétaire et sa sœur aînée Asma dans une maison toute simple, sans eau courante. Chaque matin, sa mère conduit Aïcha en vélomoteur à son école qui est très éloignée. Comme elle aimerait devenir médecin, Aïcha tient à être bonne élève.
Shodaï à l’école
Shodaï a 8 ans et vit dans le village de Juanpur au Bangladesh. Il nous guide tout au long de sa journée qui débute par un bain dans l’étang voisin. A 7 heures, après le petit-déjeuner, il va à l’école avec les autres enfants du village. En classe, ils apprennent l’alphabet bengali – des signes inconnus pour nous – et comptent à leur façon sur les doigts. Shodaï est le seul de la famille qui peut aller à l’école. Son grand frère travaille dans les rizières.
Bangladesh: vivre avec les risques naturels
En novembre 2007, le cyclone dévastateur « Sidr » a apporté la mort et la désolation au Bangladesh. Ce film se focalise sur des personnes dont les bases de subsistance ont été anéanties par le cyclone et illustre le travail du Corps suisse d’aide humanitaire. Cette aide s’accompagne de mesures de prévention à long terme pour éviter que les gens ne perdent à nouveau leurs acquis économiques lors de la prochaine catastrophe naturelle.